Rendez-vous incontournable pour moi. Samedi dès 9h, un monde fou!
Quelques photos...
Au COSEC:
Marek Sykuła |
Richard Herrman |
Thorsten Milse:
sous le chapiteau:
André Gilden |
"Photographe de nature", comme il l'écrit sur son site(à visiter ICI).
12 ans d'observation de ce bel animal sauvage en Inde pour des clichés qu'il partage avec le public.
David Meïer:
"Haute-Marne aux sources animales 2"
Grégoire Bouguereau |
Cette exposition est une sélection d’images tirée du dernier ouvrage de l’auteur Nomades de la plaine infinie.
Entre éthologie et photographie, ce livre, fruit d’un travail mené sur
une dizaine d’années, vous propose une vision du monde sauvage et des
guépards en particulier. Le travail photographique de ce livre a reçu 7
récompenses dans différentes catégories au European Wildlife
Photographer of the Year (GDT) et au Wildlife Photographer of the Year
(BBC).
Marcello Pettineo :
C’est en 2009, suite à un voyage en Centrafrique où il découvre l’esprit des grands safaris, qu’il décide de s’orienter définitivement vers une carrière artistique. Inspiré par les périples des grands artistes naturalistes d’autrefois, et nourri par les ambiances des cabinets de curiosités, son style s’affirme au travers de ses études naturalistes qui s’affichent comme les pages d’un gigantesque carnet de voyage.
Nicolas Lenartowski |
Les photographies aériennes de Nicolas Lenartowski pour DÉRIVES, À
FLEUR DE LOIRE ont été réalisées sur la partie de la Loire (280
kilomètres) inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco, entre
Sully-sur-Loire, dans le Loiret, et Chalonnes-sur-Loire, dans le
Maine-et-Loire. Un travail réalisé sur quatre années. Seul le lit du
fleuve a été photographié, ce qui donne des images parfois abstraites,
souvent dépaysantes : est-on dans le désert, près d’une oasis, au bord
d’un lagon ou dans une steppe d’Asie Centrale ?
Comme le souligne l'écrivain Stéphane Audeguy : " De ce grand fleuve que nous croyions si familier, l’artiste, avec une fraîcheur et une science consommées, a tiré des arabesques, des volutes, de grands aplats de couleur, des merveilles photographiques sans nombre."
Comme le souligne l'écrivain Stéphane Audeguy : " De ce grand fleuve que nous croyions si familier, l’artiste, avec une fraîcheur et une science consommées, a tiré des arabesques, des volutes, de grands aplats de couleur, des merveilles photographiques sans nombre."
Xavier Desmier |
Dans les méandres de la mangrove, on peut faire une rencontre devenue rare : l’un des 10 derniers bateaux qui pratiquent encore la pêche, à l’aide de loutres apprivoisées. Ils étaient encore une bonne centaine, il y a 4 ans …
L’utilisation de loutres à poil ras « Lutrogale perspicillata » pour la pêche, est une technique traditionnelle unique de la région des Sundarbans et des zones adjacentes, au Bangladesh. Cette technique de pêche ancestrale est en très fort déclin; c’est la dernière génération, elle n’est plus perpétuée que par 10 bateaux originaires de deux villages hindous, Narail et Jobra.
Cette pêche, pratiquée de nuit en dehors de la mangrove et de jour en mangrove à cause de la présence toujours inquiétante du tigre, se fait le long des berges entre les racines de palétuviers. Les loutres, bien souvent, profitent de l’occasion pour ramasser des crabes sur la berge et s’en délecter…
Pour ce faire, les loutres sont tenues en laisse puis, dirigées par deux pêcheurs, elles effraient le poisson et le repoussent dans le filet, qu’abaissent et remontent à l’aide de bambou, deux autres pêcheurs…
Après la pêche, la récompense: chaque loutre engloutie quotidiennement jusqu'à 1 kilo et demi de poissons. Que ce soit un jour de pêche ou non, il faut donc nourrir les loutres, ce qui revient cher aux pêcheurs. C’est une des raisons de la raréfaction de cette technique de pêche.
En dehors des moments de pêche, les loutres sont enfermées dans leur cage faite en bambou; elle est située vers l’avant de l’embarcation. Les loutres peuvent être jusqu’à cinq et sont de la même fratrie.
Située dans la partie Ouest du delta du Golfe du Bengale, issue de la rencontre du Gange et du Brahmapoutre, la mangrove des Sundarbans est, avec ses 140 000 hectares, la plus grande au monde et d’un seul tenant. En 1977, ont été établis trois sanctuaires pour la faune et la flore. L’ensemble des Sundarbans, devenu Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1986, a été nommé neuvième nouvelle merveille du monde naturel, par New Seven Wonders Foundation, en 2011.
Fabrice Cahez:
Pete Cairn |
Tony Crocetta |
A la Halle au Blé
Matthieu Ricard:fils du philosophe français Jean-François REVEL et de l’artiste peintre Yahne LE TOUMELIN, est moine bouddhiste, auteur, traducteur et photographe.
Parrain du festival
avec "Solitudes"
Vincent Munier |
Salle Saint-Berchaire
nourrissage... Kissonpabo! |
Jardin Linet
Près de l'ancien office de tourisme
concours
au haras
Gilles MARTIN
Happening photographique :
2027,mémoires d’un dos argenté.
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