On retrouve Guédiguian à Marseille, tant mieux. On retrouve aussi sa famille de cinéma mais la vie n'est pas plus belle! Inspiré d'un poème de Victor Hugo, "Les pauvres gens", il évoque la crise et ses conséquences dramatiques pour les plus pauvres. Amour, amitié, solidarité sont toujours là même si le bilan est plutôt désespéré.
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