31 janvier 2012

Délires cuivrés

Les "Contes à réchauffer" d'Eric Durnez sont mis en musique. Les textes courts jouent sur l'absurde, la folie et l'humour souvent noir mais ni la musique ni la mise en scène n'arrive à nous emporter dans cet univers. Même la fin était loupée: au lieu d'inviter aux applaudissements, elle n'a suscité qu'un grand silence. Flop!
De nombreux spectateurs ont regardé leur montre, signe d'un certain ennui...
Très décevant!
l'Ensemble de cuivres Elektra


Aucun commentaire: