Hadès braque son téléobjectif sur l'immeuble d'en face et numérote les hommes qui le fréquentent. Nous en sommes au n°52. Lorsqu'il estime qu'ils sont des menaces pour celle qu'ils viennent voir, il les élimine. D'un ample mouvement de faux, il les décapite.
La mort est omniprésente dans ce polar très sombre. C'est le point commun entre les victimes (un médecin légiste, un fonctionnaire de la Ville de Paris chargé des cimetières, un entrepreneur en marbrerie funéraire...) mais les indices sont bien minces pour se lancer sur la piste du criminel...
Salarnier, le commissaire chargé de l'enquête, est lui aussi confronté à la mort auprès de sa femme atteinte d'un cancer. Pas gai tout ça!
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