Gisèle Halimi raconte les tout débuts de sa carrière d'oratrice brillantissime, sûre de son talent, mais elle déchante très vite. Briller ne suffit pas, l'échec fait partie du métier, il faut surmonter même les verdicts injustes, garder la foi. "Quand une loi est mauvaise, il faut la changer". Au travers de trois grands procès, elle présente ses combats humanistes ( pour l'IVG, pour la reconnaissance du viol comme crime, contre la colonisation, contre la peine de mort...) fondés sur les Droits de l'Homme et évoque le regard des autres. "Elle ferait mieux de s'occuper de ses enfants."
Ce serait tellement bien si ce genre de personne était un peu plus entendu à la télé! Je l'écouterais des heures.
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