Le narrateur, un sculpteur de rapaces, quitte son atelier parce qu’il a accepté d’aller distribuer le courrier dans les montagnes du haut Tonkin. Le trajet lui permet de vivre quelques mésaventures, de faire des rencontres, et lui laisse le temps d’évoquer ses souvenirs où s’entrecroisent l’Histoire ( la France n’en sort pas grandie !) et sa propre histoire.
Anna Moï dresse le portrait d’un Vietnam à la fois poétique et tragique. J’adore son écriture !
Anna Moï dresse le portrait d’un Vietnam à la fois poétique et tragique. J’adore son écriture !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire