On la sentait venir, elle est arrivée d'abord timidement hier:
Et en ce moment, elle se défoule en tempête , suffisamment pour contrarier nos projets de séance-cinéma. Photo prise il y a quelques minutes.
Un grand Merci aux quelques visiteuses d'avoir laissé des signes de leurs passages. Ça fait plaisir!
Evidemment, je pensais bien que tu allais réagir à "Cyclocanal", Bèr! On a vu une paire de péniches, mais pas aussi belles que la vôtre!!!:))
Non, ce ne sont pas les grosses papattes de Pharuk! ( Au fait, je n'ai pas de photo numérique de ses moustaches. Si tu m'en trouves une, Bèr, je la mettrai ici...) Ce matin nous sommes allées au festival de la photo animalière de Montier-en-Der. Pas de grande surprise mais le plaisir des yeux était au rendez-vous. En cliquant sur l'affiche, on se retrouve sur le site officiel de l'AFPAN.
23 novembre 2008
20 novembre 2008
37/40: Un lieu incertain
+++++
On retrouve Adamsberg et toute la troupe, l'ambiance si unique de cet univers policier créé par Vargas.
Je l'ai trouvé moins bon que ses derniers mais on lui pardonne tout parce qu'on fait partie de ses inconditionnels.
extrait:
"[...] Où est le corps?
- Partout, lieutenant, dit Adamsberg en écartant les bras, désignant d'un mouvement la pièce entière. Emietté, pulvérisén répandu. Où que l'on pose les yeux, on voit le corps. Et quand on regarde le tout, on ne le voit plus. Il n'y a que lui, et il n'est pas là."
01 novembre 2008
36/40: Globalia
+++
Globalia, monde futuriste parfait qui a opté pour la démocratie universelle. Tout va bien dans le meilleur des mondes, c'est bien connu, quand on s'arrête aux apparences. Quand certains se mettent à fouiller pour en savoir plus ou à vouloir s'en éloigner pour découvrir un autre monde situé dans "les non-zones", cela se gâte.
Trame classique du roman de science-fiction, mais le roman manque d'énergie, les héros sont peu convaincants. Quelques surprises ne suffisent pas à nous tenir en haleine. Disons que dans le genre, on a fait mieux. Ce n'était pas désagréable à lire mais il ne m'en restera certainement pas grand chose...
Globalia, monde futuriste parfait qui a opté pour la démocratie universelle. Tout va bien dans le meilleur des mondes, c'est bien connu, quand on s'arrête aux apparences. Quand certains se mettent à fouiller pour en savoir plus ou à vouloir s'en éloigner pour découvrir un autre monde situé dans "les non-zones", cela se gâte.
Trame classique du roman de science-fiction, mais le roman manque d'énergie, les héros sont peu convaincants. Quelques surprises ne suffisent pas à nous tenir en haleine. Disons que dans le genre, on a fait mieux. Ce n'était pas désagréable à lire mais il ne m'en restera certainement pas grand chose...
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